Retrouvé dans l’armoire de la Chapelle, cet ex-voto a probablement été rapporté de Marseille par une femme de marin breton qui visitait son mari en escale.
Les marins vivaient à l’époque de très longs embarquements, plusieurs mois, et, traditionnellement, leurs épouses faisaient le déplacement lorsqu’ils étaient en escale, même loin de la Bretagne. Elles acquéraient alors un ex-voto pour que Marie veille sur leurs maris.
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